Boosie Badazz est déçu par Nicki Minaj pour sa collaboration avec Tekashi 6ix9ine, disant qu’elle a un « manque de caractère » et se demandant si elle a un coeur.
Boosie Badazz est l’un des hommes les plus francs de l’industrie de la musique. Il a toujours quelque chose à dire, c’est surtout pour cela que ses interviews sont si agréables à regarder. En tant que téléspectateur, il délivre à chaque fois un contenu divertissant. Rien qu’à partir de ses réactions, on en apprend beaucoup sur ce qui le fait vibrer. Apparemment, l’une des choses – ou plutôt des personnes – qui l’ont mis en colère au cours de l’année écoulée est Nicki Minaj.
En publiant une nouvelle interview de Boosie, VladTV a fait parler le légendaire rappeur de son opinion sur Nicki Minaj à la suite de sa collaboration avec Tekashi 6ix9ine dans le cadre de « TROLLZ ». Comme on pouvait s’y attendre d’après ses précédents commentaires sur le rappeur aux cheveux arc-en-ciel, il n’était pas fier de Nicki pour avoir décidé de travailler avec 69.
« Cela montre un manque de caractère », a déclaré Boosie à propos de Nicki qui travaille avec Tekashi. « Cela montre que vous changeriez pour de l’argent et du succès. C’est comme ça que je le vois. Elle n’a pas besoin de faire ça. Elle est très riche. J’ai l’impression qu’elle a chié sur la communauté du ghetto, tous les Afro-Américains, elle sait de quoi je parle, elle leur a dit « qu’ils aillent se faire foutre ».
Dans l’interview, Boosie dit qu’il a rencontré Nicki alors qu’elle était encore avec Meek Mill. Cependant, il ne la connaît pas assez pour se faire une opinion sur elle. D’après sa musique, Boosie avait l’impression qu’elle était une « sal*pe de ghetto », mais cela a changé son opinion.
« Cette fille n’a peut-être pas de coeur. Elle n’a peut-être pas de cœur pour ce que ce type a fait aux gens », a déclaré Boosie. « Elle n’est peut-être pas ce que je pense parce que, s’il me faisait ça et me donnait un million d’années, est-ce qu’elle ferait encore un morceau avec lui ? […] Il faut qu’elle change de carrière. Elle n’est peut-être pas cette sal*pe de rue dont je parle. »